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Véro et Georges (1/3)
Nous avions encore quatre heures de route à effectuer et n’étions pas pressés. La route défilait et comme à mon habitude sur les longs trajets, je posais de temps à autres ma main sur la cuisse de ma passagère pour établir un contact avec sa peau chauffée au soleil.
Dix minutes après la petite pause des deux heures de route, j’ai aperçu un jeune auto-stoppeur présentant un panneau « Paris ». Sans demander son avis à mon épouse, j’ai décidé de m’arrêter quelques mètres plus loin pour dépanner ce jeune gars qui n’avait qu’un petit sac en bagage…
Il était saisonnier et remontait vers Paris pour reprendre ses études dans quelques jours.
L’ambiance était détendue car après une cinquantaine de kilomètres en sa compagnie, pour faire bonne figure je pense, Véro se tourna à moitié sur son siège et recroquevilla son pied gauche sous sa cuisse droite. Cet action, sans penser à mal, ouvrit légèrement le compas de ses cuisses et tira un peu sur sa courte jupe. Ceci eut aussi pour effet immédiat de faire glisser un pan du tissu et de découvrir plus de la moitié de sa cuisse. Jonathan pouvait donc, de sa place, à loisir regarder les jambes de Véro et admirer le galbe de son sein gauche sous le coton de son petit haut. Il avait entrevu sa poitrine, il pouvait dorénavant imaginer son sexe ou du moins deviner la présence de poils pubiens.
Vu que j’ai pour habitude de laisser ma main au contact de sa peau, elle ne dit rien. Mes doigts s’amusèrent à caresser doucement par petits cercles l’intérieur de la cuisse de ma compagne pour établir un contact avec sa peau en glissant sous le tissu.
Je savais que Véro était nue sous sa jupe. J’ai posé ma main un peu plus haut et dévoiler un peu plus sa cuisse en faisant glisser un peu de tissu sous ma main. Lorsque du bout du doigt je pus effleurer ses lèvres vaginales… que je crus découvrir humide…. Quelques kilomètres passèrent puis ses jambes s’écartèrent comme par inadvertance, ce qui permit, via le miroir, de réfléchir une vue stimulante à notre stoppeur.
Arrivé à Paris, Jonathan nous informe que sa destination réelle était Strasbourg, je lui ai proposé de rester dormir à la maison. Nous avons un très grand appartement et je trouvais ce gars sympa. Il fut heureux de pouvoir séjourner dans la capitale.
Après avoir montrer la chambre d’amis à notre convive, nous sommes éclipsés rapidement dans notre chambre conjugale. Épuisés par la route, nous sommes endormis rapidement …
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Cam ... Du virtuel à la réalité ! (1/3)
Julia, je suis une mère de famille sans histoire. Toute ma vie a basculé le jour où j’ai commencé sur les sites de tchat. J’ai ouvert les portes de la perversion.
La découverte de nouveaux plaisirs moins conventionnels a décuplé mon appétit sexuel.
Il est 10 h00 du matin, comme chaque matin, les enfants sont à l’école et mon mari à son travail. Me revoilà devant l’ordinateur. Je décidé de me payer du bon temps en allant sur Internet. Je ne suis pas une accro de l’ordinateur, mais j’ai tout de même grandi avec et je sais largement m’en servir. Je suis inscrite à un site de tchat,. Le principe est amusant : on est mis en relation avec une personne de n’importe où dans le monde, webcams allumées, et on essaie d’entamer une discussion.
Rapidement, j’engage une conversation, la caméra s’allume …
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Cette petite rousse me fait fantasmer. Quel regard Angelique avec du sperme au coin de la bouche. Je m'imagine devoir la surveiller comme une élève rebelle. Mais c'est plus fort qu'elle elle me montre son string. Et pour sortir plus tôt souhaite me sucer. Alors je décide d'en profiter un max. Dépt: 84